French singer-songwriter, alien-harpist, and producer Laura Perrudin came to the limelight in 2015 with her debut album 'Impressions', praised by Le Monde, the BBC, FiP and Les Inrocks for its fusion of alternative vocal jazz and impressionist electronics.

Fusing neo-soul with electronica and mutant folk, her 2017 release 'Poisons & Antidotes' showcased her unique voice and experimental prowess with the electric chromatic harp, a bespoke instrument crafted for her.

In 2020, she explored more danceable electric future-soul in her album 'Perspectives & Avatars', featuring Philippe Katerine, Mélissa Laveaux, Becca Stevens, Emel Mathlouthi, rapper Krismenn and drummer Ian Chang (Son Lux). Each song forms a character, creating a conceptual narrative.

She performs, orchestrates, and produces her live music using her DIY custom-made stage setup, "The Ghost Orchestra", leading to the live album "Featuring the Ghost Orchestra" (2023).

Balancing solo work, she recently collaborated with Austin Wintory, Salami Rose Joe Louis, Fabian Almazan, Anne Paceo, Théo Ceccaldi, and others.

Today, Laura Perrudin surrounds herself with hacker-musicians Thibault Florent on guitar (Mange Ferraille), Ronan Courty on double bass (Cabaret Contemporain), and Simon Bernier on drums (Ludovic Ernault) to present DOKSHA. This collective sonic odyssey to a utopian low-tech Sci-Fi world blends artisanal noise-groove with danceable future-soul, tinged with luminous pop elements and experimental ingenuity.

www.youtube.com/watch?v=baJZe1G2L1g&list=PLCYadgQ9XVDJ7H2j7NuSrOFAqTgsI54be&index=2


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En contrepoint de ses aventures en solo, la chanteuse et harpiste Laura Perrudin présente DOKSHA. Entre un noise-groove artisanal et une néo-soul dansante teintée de pop lumineuse, la musique de DOKSHA est la réunion du groove, de la science-fiction et de la bidouille.

Se prêtant elle-même à la torsion sonore de sa harpe, Laura Perrudin s'entoure de musiciens aux instruments bricolo-acoustiques ou pirato-électriques : Thibault Florent à la guitare (Mange Ferraille), Ronan Courty à la contrebasse (Cabaret Contemporain) et Simon Bernier à la batterie (Ludovic Ernault).

Le groupe explore l'usage des outils de nos ancêtres (cintres, aiguilles à tricoter ou autres cosmopompes électroniques) pour faire sonner et groover leurs instruments de musique au plus juste.

Les textes en français et en anglais tissent une vaste odyssée d'anticipation, retraçant la trajectoire des homo sapiens depuis l'effondrement de l'ère du grand smog (notre époque) jusqu'à l'utopie low-tech dé-hiérarchisée de DOKSHA.

Cette équipe scientifique pluri-espèces du futur est en effet à l'origine d'une importante découverte archéo-musicologique datant d'environ 2030 : un temple dédié aux concerts rituels de cette civilisation sapiens éteinte depuis longtemps.

A la lumière des plus récentes avancées scientifiques, DOKSHA re-compose un répertoire de chansons en s'inspirant du style musical et poétique de l'ère smoguienne (1980 à 2050 environ).

L'occasion de découvrir la culture archaïque de cette époque étonnante où toute activité humaine était régie par des hiérarchies pyramidales et où toute chose était conditionnée par d'étranges concepts abstraits comme l"argent". Les êtres non-humains étaient alors considérés comme des "ressources" et de la mélasse de cailloux nommée "pétrole" permettait de tout casser sans transpirer.

Cette SF musicale bricoleuse à l'ironie absurde et colorée est devenue un mini-EP 3 titres, qui sortira en digital le 3 mai sur le label Volatine, accompagné de 3 vidéos.

Tournée en archéo-musicarium laborantin avec du matériel d’époque, la captation vidéo à bénéficié de la participation de l'ensemble des équipes scientifiques animales et
végétales de DOKSHA :

www.youtube.com/watch?v=baJZe1G2L1g&list=PLCYadgQ9XVDJ7H2j7NuSrOFAqTgsI54be&index=2